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Le chant de la modernité

Le chant de la modernité

Une maison individuelle située dans les environs verts de Temse. Avec un peu d'imagination, la forme de la construction peut être décrite comme deux blocs poussés l'un sur l'autre comme s'ils voulaient fusionner.

©Tim Van de Velde

Structure prononcée

Deux volumes simples qui forment deux identités distinctes. L'ensemble est modélisé de façon que la voiture soit protégée par le volume basculant et serve de carport. D'un point de vue constructif, la structure porteuse est faite d'acier auquel sont fixés des panneaux en béton isolés, tout comme les panneaux en sandwich du premier étage. Les matériaux font référence à une nouvelle façon de construire. La différence est qu’aujourd'hui nous disposons de meilleures applications telles que le double vitrage, de fenêtres joliment peintes et toutes sortes de technologies avancées. L'environnement et le climat sont respectés à tous égards.

©Tim Van de Velde

Expérience spatiale

Le maître d’ouvrage souhaitait une maison aux contours nets, ce qui est bien sûr parfaitement possible avec l'acier et le béton. Deux matériaux qui, comme dans un duo, chantent la modernité. Leur signification métaphorique culmine dans l'extrême simplicité du béton apparent blanc comme neige et des panneaux sandwichs de couleur anthracite (bleu foncé) au deuxième étage.
À l'avant de la maison, une clôture en acier semi-transparente et son portail empêchent les regards trop curieux. La vie de famille se déroule à l'arrière notamment dans la cuisine et le vaste jardin. Un grand vide relie les deux blocs de manière ludique permettant de vivre une expérience spatiale.